Titre français : La femme du Ve
Édition : Arrow Books
Parution : 2008
Pages : 422
"Quand Harry Ricks se retrouve dans une chambre de bonne du Xème arrondissement de Paris, lui qui quelques mois auparavant était encore professeur d'université et père de famille tranquille aux Etats-Unis, il croit avoir touché le fond. Mais voici que la mystérieuse et sensuelle Margit vient bouleverser sa vie. D'où vient Margit ? Comment gagne-t-elle sa vie ? Dépourvu de réponses, il se laisse envoûter. Jusqu'à ce que d'étranges coïncidences viennent perturber son quotidien."
Ma note : 5.5/10
Mon avis :
The woman in the fifth est le premier
roman que je lis en anglais (et je suis plutôt fière d'avoir tout
compris et d'être allée au bout de ces 422 pages)
Nous suivons Harry, un américain qui
arrive à Paris après avoir divorcé, perdu son job, et perdu contact avec
sa fille de quinze ans. C'est un personnage complètement perdu et qui
n'a qu'une envie : reconstruire sa vie loin du scandale. Il est
clairement dépassé par les événements et tente de vivre (ou survivre)
comme il peut, d'autant plus qu'il va se retrouver mêlé à plusieurs
affaires louches et dangereuses à cause entre autre de la fameuse
« femme du cinquième ».
Cette femme, Margit, m'a beaucoup énervée.
Je n'aime pas son caractère, sa façon de controler le monde qui
l'entoure et de tirer profit de toutes les sitautations quelques en
soient les conséquences.
J'ai été plutôt déçue par ce roman. Je me
suis ennuyée à plusieurs moments. Tout est trop lent, l'histoire a
besoin d'avancer plus rapidement.
De plus les cent dernières pages font
basculer le roman dans du surnaturel. Cela m'a beaucoup dérangée car
c'est difficilement envisageable et trop loin du style plus terre à
terre du début du livre. Tout nous échappe et part dans quelque chose
d'étrange et de délirant. C'est une déception car ça ne colle pas du
tout au début de lecture.
Un passage m'a beaucoup touché. Il s'agit
du moment où Harry reprend contact avec sa fille. Leurs mails sont
timides mais plein d'amour.
Au niveau de la lecture en anglais, les
structures et les mots utilisés sont simples et correspondent (à mon
avis, je n'ai pas la science infuse) à un niveau B2.
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